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23 octobre 2009

Ordinateur en chantier

ordinateurMon ordinateur rame.
Ça commence vraiment à être embêtant.
Je ne suis pas du tout impatiente, ni habituée aux ordinateurs plus rapides.
Mais le mien commence à battre à tous les records. Quand je l'allume je peux aller me faire un café, j'ai largement le temps.

Et en même temps il me manque la dernière version de firefox, ce qui fait que je ne peux plus tourner certaines programmes. Et des sites comme Deezer ne veulent plus de moi, même La Poste commence à protester, La Poste, t'as qu'à voir....

(Est-ce que je vous ai déjà dit que j'ai un mari informaticien ?? Eh oui, c'est comme chez le cordonnier .....)

Ce qui est embêtant, c'est que je ne peux pas installer le nouveau firefox, car je ne suis pas l'administrateur de mon poste. Eh oui, c'est lui.

Jusqu'à ce jour l'ordinateur est placé dans le bureau, sur le vaste palier à l'étage. Mais c'est juste devant les portes des chambres des enfants. Alors quand je veux y aller, je marche bien entendu sur les poutres qui forment le plafond du rez-de-chaussée, oui ces fameuses poutres, qui vont immédiatement faire entendre leur mécontentement. Et les enfants seront reveillés.

Ce qui est bien, c'est que j'ai obtenu un changement de mon poste de travail. Si, si, à part de faire des bêtises avec mon ordi, il m'arrive aussi de travailler avec!

Déménagement du bureau sombre, car il n'y a pas encore de fenêtre dans ce coin de l'étage où j'ai installé le bureau, vers le salon, dans, oui vous lisez bien, dans le coin où j'avais installé les jeux des enfants. C'est une partie un peu perdu du salon, sous l'escalier, où j'avais d'abord fait un coin jeu pour les enfants. Je pense qu'ils se sont cognés leurs têtes quelques fois au bois de l'escalier, parce que je ne les vois jamais y jouer. Alors, tant pis les petits: je vous pique l'espace, rien que pour moi.

Le chantier commence demain. Il va me tirer des câbles. Du haut, vers le bas, vers les chambres des enfants (c'est un peu tôt, je vous l'accorde!), vers la cuisine (ça c'est pour lui, je ne sais pas pourquoi on voudrait internet+ordi dans la cuisine??), vers le studio, où je vais installer un vrai bureau, en eehhh, on va dire 2015.... Et il m'installera une jolie tablette pour poser le clavier, et en plus.... j'aurai un nouveau écran plat: c'est Byzance je vous le dis.

Vous l'aurez compris: pour une fois, j'adore le bricolage et le chantier à la maison!

(Je dois vous dire que La Poste m'a vraiment lâché maintenant... Si je ne réponds plus à vos mails, ce n'est pas que je vous boude... à la fin du chantier je serai de retour!)

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13 octobre 2009

Chut!

Je suis une femme alors j'ai des secrets.
Beaucoup de secrets, beaucoup.
Pour tout le monde, pour une personne précise, pour quelques uns, peu importe, des secrets tout plein.
Jusque là rien de nouveau.

Mais voilà, aujourd'hui et rien que pour vous je vais vous révéler un secret que je n'ai jamais dit à personne. Oui, vous lisez bien, je ne l'ai confié à personne. C'est un scoop, n'arrêtez-vous surtout pas de lire. D'ailleurs, pour mes statistiques, c'est toujours mieux de rester plus de trente minutes sur mon blog, oui vous lisez bien, plus de trente minutes, c'est canalblog qui le dit.

Je pense à mon secret quand je suis en train de préparer une moussaka. C'est très gras la vraie moussaka. On doit plonger des tranches d'aubergine dans une poêle pleine d'huile, l'aubergine aspire l'huile tel un Super-Sammy, trois tranches suffisent pour te vider 300ml d'huile de la poêle. Quand j'aurais passé les trois aubergines entières, j'aurais vidé mon bidon de deux litres d'huile: une moussaka à 17680 kcalories, ça va faire roter mon bébé.

Alors je coupe les aubergines en gros cubes, tant pis pour la belle mise en plat des différents ingrédients, aubergine en gros cubes et hop, tout ça avec la viande, tomates et oignons dans la casserole.

Et je dois dire que ça m'arrange. Ça m'arrange que les tranches d'aubergine ne sont pas à part, séparées de tout le reste, seuls entre les couches de viande et sauce. Couches de tranches marron, presque élastiques, avec ce drole de goût. Car voilà mon secret. Je n'aime pas l'aubergine. Je n'aime pas sa structure. Je n'aime pas son goût. Et pensonne ne le sait.

Il y a plusieurs raisons pourquoi je ne l'ai jamais dit à personne.  D'abord, pour ne pas faire de peine à personne. Pas à ma maman, qui a commencé à utiliser l'aubergine en cuisine que quand j'avais déjà quitté la maison depuis longtemps. Pas à la belle-doche (et pas à mon mari en occurence), car j'arrivais juste dans la belle-famille.

Et maintenant c'est trop tard. Car maintenant j'ai des enfants. Et bien sûr je les force à manger de tout: ça va être difficile d'expliquer que moi, je ne mange pas l'aubergine car je ne l'aime pas, et eux il doivent faire cet effort de quand-même goûter... C'est déjà assez difficile d'expliquer les choses à l'envers: que moi je peux boire de l'alcool, et vous non, vous êtes trop jeunes hein !

Alors je ne dis rien à personne. Et je mange sagement mes aubergines. Mieux même: j'en fais pousser dans mon jardin! Et je dis à tout le monde "moi, je mange de tout".

5 octobre 2009

Aujourd'hui j'ai testé pour vous...

J'ai testé, enfin plutôt pour moi que pour vous, mon nouveau médicament contre les migraines, le Zolmitriptan.

Samedi matin je me reveille avec un peu de mal de tête. J'ai des vraies migraines, héritées de ma maman, comme un de mes frères et ma soeur. Des migraines qui font que je ne vois plus rien, c'est comme si on me met une lampe en pleine figure, interrogatoire à l'américaine. Très embêtant en voiture d'ailleurs, source d'accidents. Ce samedi matin je n'ai pas encore très mal, seulement je ne vois plus rien, et je sais comment ça va évoluer: les douleurs dans la tête s'augmentent rapidement, horribles douleurs qui font que je ne supporte plus rien, plus de bruits, et même plus la lumière du jour, et ensuite j'aurai des nausées, je vomirai toutes les trente minutes, même si je n'ai plus rien dans l'estomac. Ça m'épuise et comme je manque plusieurs repas, je perds rapidement deux à trois kilos et beaucoup d'énergie. Ensuite j'ai besoin de toute la semaine pour m'en remettre, et reprendre l'entraînement au niveau de la semaine précédente.

Il y a dix ans je prenais déjà des comprimés de codéine contre les douleurs de mes migraines. Cependant j'ai arrêté d'en prendre car j'en devenais dépendante. Et les antidouleurs n'évitent pas les nausées, et diminuent à peine les maux de tête. Alors pour mon propre confort j'ai demandé de vrais médicaments contre la migraine à mon médecin.

Je ne l'ai pas encore testé, jusque ce samedi quand je me reveille avec un mal de tête débutant. Je n'ai pas bu excessivement hier soir (...) alors il se peut qu'une migraine se déclare. Bien sûr je me suis reveillée avec le reveil--sinon je dormirais bien plus tard--pour aller courir: je réfléchis, car si c'est une migraine il faudrait prendre ce nouveau (enfin nouveau pour moi hein) médicament tout de suite dès les premiers symptomes. Mais je dois aller courir, et comme j'y vais seule et en pleine campagne, et comme je connnais tous les effets non désirables du médicament, je ne voudrais pas me retrouver avec une tachycardie ou autre souci du rythme cardiaque toute seule au bord d'une rivière où il n'y a personne pour me voir agoniser et me faire grignoter les extrémités par les ragondins.

Je pars donc courir sans comprimé, une heure et demi de course à jeun, l'entraînement se passe bien, des tours de 4km à 17min le tour. Je ne sais pas où est d'ailleurs la limite de la durée d'effort qu'on peut faire à jeun, mais je dois dire que j'ai sacrément faim quand je reviens, et bien plus mal à la tête aussi. Et je commence à ne plus voir grand'chose, alors il est temps de prendre la pilule magique.

Et je dois dire que ça marche pas trop mal. Si je disais que je n'ai rien senti, je mentirais. Pendant tout le weekend je sentais une sorte de lourdeur dans la tête, mais pas ces horribles maux de tête qui font que je ne suis plus capable de rien. Je n'ai pas eu de nausées du tout, alors j'ai pu manger normalement. J'ai pu passer un weekend à peu près normal. Et le médicament ne se trouve pas sur la liste des agents dopants: qu'est-ce qu'on veut de plus hein?

Oui, je sais ce qu'on veut. Courir le dix kilomètres en trente huit minutes.
Le 18 octobre je repars en compet'. A la guerre comme à la guerre.

1 octobre 2009

Ça commence !

A midi, ma fille monte rapidement dans sa chambre en disant quelque chose comme "il fait chaud" et "je vais me changer"....

Et moi je crie qu'on a que trois quarts d'heure pour manger et qu'il va falloir faire vite alors.

Mademoiselle redescend: elle porte une robe à fleurs qui est tèllement courte qu'on peut presque voir son petit boxer, (hé oui, j'ai déjà cédé, quand elle n'a plus voulu mettre de culottes de "petite" fille), chaussettes roses assorties ....

Inutile de vous dire qu'elle est aussitôt remontée à l'étage pour remettre quelque chose de plus décent.

Car je vous le rappelle: elle n'a que quatre ans....

(Telle mère telle fille?)

21 septembre 2009

Au revoir course à pied, bonjour roi, tour et fou...

Bon, ça ne vaut même pas la peine que j'écrive un article pour vous annoncer le résultat de ma course : huitième femme, à 43m49s.
Je ne vais pas vous ennuyer avec les temps intermédiaires au kilomètre.
J'ai même très honte de devoir vous dire que, sur mes quatre concurrentes habituelles, il n'y en avait que deux qui couraient... j'ai raté ma chance d'être sur le podium.

Un premier kilomètre en 3m50s encore, et pour les neuf autres du plomb dans les jambes.
Et mon entraîneur qui ne comprend pas (et moi non plus d'ailleurs): mes séances de vitesse je les fais à 17 km/h.
Il va me concocter des séances de musculation.

echecsEt moi, je pense que je vais m'inscrire dans un club d'échecs.

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17 septembre 2009

Rencontre...

entre glaçon et homme brûlant
qui n'est pas resté de glace...

iceberg2

...

rencontre explosive.

Et moi,
moi j'en étais témoin.

11 septembre 2009

Bientôt une autre compétition !

Je ne sais pas si tout le monde a bien compris que la catégorie "manger bouger" concernait mes billets sur la course à pied. Humour trop anglo-saxon peut-être ? Et j'ai envie de changer le titre. Ma première idée est: "comment j'entretiens mon cul musclé". En plus, ça peut encore augmenter mes statistiques. Mais c'est un peu long peut-être. Et je n'ai pas un blog de ce genre là, hein, qu'est-ce que vous pensez de moi! (mais si, vous pensez bien, c'est moi). D'un autre côté, je n'ai pas d'autre idée. What the heck, je change et c'est fait.

En fait, j'allais parler de mes entraînements. Et ma compétition qui arrive à grands pas. Aujourd'hui c'est tout différent que l'année passé, quand j'ai fait ma première course depuis la naissance de mon bébé. Je n'ai plus l'idée en tête d'aller battre les meilleures, ces trois meilleures filles du département. En fait oui, je l'ai encore cette idée, mais pour plus tard. Car pour l'instant je sais que ça va être quasiment impossible, la première doit courir à 38 min au 10km. Alors il va falloir tout simplement viser de faire mieux que l'année passé, c'est à dire de passer sous les 42 min. Je pense que ça doit être faisable, mais je ne me fige quand-même pas trop dessus.

Je dois dire que j'ai bien repris les entraînements. Et ça depuis debut juillet déjà. Je dois toujours rire quand je vois dans les revues de course à pied J*** ou V*** les programmes d'entraînement pour marathon, oui vous lisez bien MARATHON en huit semaines!! Moi, j'ai tout simplement fait que de l'endurance pendant huit semaines, avant de commencer mes séances de vitesse à 16 voire 17 km/h. Et depuis fin août je fais des semaines de 70km. Je me trouve donc bien préparée pour faire une compétition de dix kilomètres, pas pour la gagner, mais pour bien la finir, oui.

Et ce matin je viens d'avoir LE médicament contre mes migraines, du "Zolmitriptan". La liste des soucis annexes est importante: nausées, vertiges, somnolence, sensation de chaleur, fatigue, sécheresse de la bouche, faiblesse musculaire, accélération du rythme cardiaque, palpitations, augmentation transitoire de la pression artérielle, rares cas d'événements coronariens graves, incluant troubles du rythme cardiaque, épisodes de tachycardie ventriculaire, (et je note pas encore tout là!), mais peu importe, je n'aurai plus de migraines avec ça. Plus de weekends entiers au lit en train de vomir et perdre du poids, plus d'entraînements ratés, c'est la liberté je vous dis! Va juste falloir scruter la liste de l'FFA, si ce n'est pas sur la liste des agents dopants...

4 septembre 2009

YESSS -- la rentrée

{  No comment  }

She work it girl, she work the pole
She break it down, she take it low
She's fine as hell, she's about the dough
Doing her thing out on the floor
money money, she makin'
Look at the way she shakin'
Make you want to touch her, make you want to taste her
Have you lustin' for her, go crazy face it
She's so much more than you're used to
She knows just how to move to seduce you
She's gonna do the right thing and touch the right spot
Dance in you're lap till you're ready to pop
She always ready, when you want it she want it
Like a nympho, the info
I show you where to meet her
On the late night, till daylight the club jumpin'
If you want a good time, she's gonna give you what you want

Baby it's a new age,
You like my new craze
Let's get together
Maybe we can start a new phase
The smokes got the club all hazy,
Spotlights don't do you justice baby
Why don't you come over here, you got me saying

Aayooh
I'm tired of using technology,
Why don't you sit down on top on me
Aayooh
I'm tired of using technology
I need you right in front on me

In her fantasy, there's plain to see
Just how it be, on me, backstrokin',
Sweat soaking
All into my set sheets
When she ready to ride, I'm ready to roll
I'll be in this bitch till the club close
What should I do, one thing on all fours
Now that that shit should be against the law
Different style, different move,
Damn I like the way you move
Girl you got me thinking about,
All the things I do to you
Let's get it poppin' shorty
We can switch positions
From the couch to the counters in my kitchen

Baby it's a new age,
You like my new craze
Let's get together
Maybe we can start a new phase
The smokes got the club all hazy,
Spotlights don't do you justice baby
Why don't you come over here, you got me saying

Aayooh
I'm tired of using technology,
Why don't you sit down on top of me
Aayooh
I'm tired of using technology
I need you right in front of me

Oh she wants it, oh she wants it
Oh she wants it, oh I got to give it to her
Oh she wants it, oh she wants it
Oh she wants it, oh I got to give it to her
I got to give it to her

Baby it's a new age,
You like my new craze
Let's get together
Maybe we can start a new phase
The smokes got the club all hazy,
Spotlights don't do you justice baby
Why don't you come over here, you got me saying

Aayooh
I'm tired of using technology
Why don't you sit down on top of me
Aayooh
I'm tired of using technology
I need you right in front of me

21 août 2009

La répondeur-thérapie

Debut août, j'avais écrit le billet suivant. De temps en temps ça m'arrive de commencer des billets, et de les terminer plus tard:

Ma soeur fait une répondeur-thérapie.
C'est une invention de sa part, que je pensais coûteuse, mais en y réfléchissant bien, le psy se paie aussi, alors...

Elle me téléphone.
Comme d'habitude elle me téléphone quand je suis à table.
Et si je quitte la table pour téléphoner, mes deux enfants font les fous aussitôt.
Patates sur la nappe, haricots plats par terre, le poisson dans les cheveux.

Alors j'essaie de couper court. J'essaie de lui expliquer, pour la n-ième fois, que quand on a deux enfants, il faut s'en occuper lors de l'heure du déjeuner. De toute façon elle n'a pas grand chose à raconter, sa vie étant très monotone. Elle veut juste parler de quelque douleur qu'elle a, et raconter qu'elle ne dort plus, car il y a des bruits de coups de marteau tous les nuits chez les voisins... (ndlr.: ce sont des bruits imaginaires, malheureusement).

Enfin je peux raccrocher. A peine rassise à table, le téléphone sonne de nouveau. Je décroche, un peu fachée certes, et je lui explique encore que je n'ai pas le temps maintenant de lui parler plus longtemps.

Et elle me dit: "Mais pourquoi tu décroches ? J'aurais voulu laisser un message sur le repondeur !"

Voilà le billet que j'avais. Billet qui aurais dû être rigolo, enfin je pensais.
Sauf qu'il y a une semaine, j'apprends qu'elle a été admise au service psychiatrie à l'hôpital. Depuis le trente juillet déjà.

(Ma soeur est bipolaire, depuis qu'elle est toute petite...)

30 juillet 2009

l'Après-vacances... deux

A mon retour des vacances, j'ai vu qu'on avait un squatteur. Sa gueule là voici.
lyctusIl s'appelle lyctus. Rien que son nom me fait penser à quelque chose de ... euh ..., enfin.
Il paraît que c'est le cador des larves. Que c'est celui qui mange aussi le coeur le plus dur des poutres en chêne. Un invité de taille.
Il s'est invité dans nos poutres. Les poutres qui constituent le plafond du rez-de-chaussée. Les poutres qui tiennent le toit. Les poutres qui tiennent les murs. 276 mètres linéaires de bois en total. Et surtout la poutre principale, celle qui fait 8 mètres, celle qui est supposée de tenir toute la maison ensemble, elle est bien bouffée. Diminuée de moitié à deux endroits.

Moi qui en avait assez des travaux, j'ai du faire venir de nouveau un entreprise pour un devis. Un devis bien salé encore cette fois-ci. Encore trois jours de galère. Trois jours, s'il n'y en a pas besoin de plus, de poussière et de produits chimiques, trois jours à vivre dans l'annexe dans le jardin, à enlever les meubles du rez-de-chaussée, à tout dégager des chambres maintenant, à tout vider des greniers....

Et ensuite il faudrait faire venir quelqu'un qui va estimer si les poutres sont encore en mésure de tenir la maison debout...

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